Les risques qui peuvent survenir peuvent être nombreux. Des contrats d’assurance ont été mis en place afin que les personnes puissent être couvertes pour différents types de dommages. Les contrats sont diversifiés pour que chacun puisse trouver ce dont il a besoin. Une assurance contre le vol, une garantie pour la maison, les formules bris de glace, …. Cependant, les clauses rédigées par les assureurs sont souvent suivies d’une franchise qui sera prise en compte en cas de sinistre.

Qu’est-ce que la garantie bris de glace ?

Une assurance liée au bris de glace regroupe les indemnités que vous recevrez après un choc sur les vitres de votre voiture. Plusieurs faits peuvent en effet conduire à une telle situation. Un projectile qui a été lancé sur votre pare-brise. Un accident qui a provoqué des dégâts mineurs ou importants sur les surfaces vitrées. Un acte de vandalisme qui a provoqué des fissures. Dans tous les cas, de tels dommages peuvent entraîner des dépenses importantes. Pour éviter cela, il vous suffit de souscrire une assurance appropriée pour votre voiture. La garantie bris de glace prend en compte les dommages sur le pare-brise, sur les vitres arrière, sur le toit en verre, …. Mais comme une franchise est possible, beaucoup de personnes restent sceptiques. Alors, comment ne pas payer la franchise bris de glace ? Pour plus d’informations, vous pouvez parcourir cette page

Qu’est-ce qu’une franchise pour bris de glace ?

Une franchise bris de glace est un montant que le conducteur doit payer lorsqu’il a des problèmes avec les surfaces vitrées de sa voiture. Après avoir fait une déclaration de sinistre à l’assureur, ce dernier peut, selon les cas, demander le paiement d’une franchise. Son montant est fixé à l’avance par le prestataire. Sa valeur peut être connue et fixée dès la signature du contrat de votre assurance auto. Mais elle peut aussi être obtenue après avoir calculé un pourcentage sur la facture de réparation. Le montant peut aussi dépendre de votre cotisation. C’est en jouant sur votre cotisation mensuelle que vous pourrez obtenir une franchise adéquate. Plus la franchise que vous retiendrez sera élevée, plus vous aurez de chances de réduire votre cotisation. Dans tous les cas, la valeur de la franchise peut devenir un critère essentiel pour vous aider à dénicher le bon assureur. N’hésitez pas à faire des comparaisons pour trouver une couverture qui vous convient vraiment.

Comment ne pas payer la franchise ?

Payer la franchise bris de glace est une chose que beaucoup de personnes redoutent lorsqu’elles souscrivent une assurance auto. Mais comment ne pas payer la franchise bris de glace ? En faisant appel à des compagnies qui travaillent avec votre assureur, vous aurez une chance d’éviter cette dépense. De nombreuses compagnies sont partenaires de votre assureur et proposent des offres avantageuses que vous ne pourrez pas refuser. Certaines entreprises de réparation offrent un service de qualité. Et vous pouvez même bénéficier d’un remboursement de votre franchise. Elles se chargent de toutes les démarches pour que vous puissiez bénéficier d’une telle proposition. En bref, après les dégâts que votre voiture a subis, vous aurez l’occasion de recevoir votre indemnisation. Mais en plus, votre franchise bris de glace vous sera remboursée.

 

 

               

Il est toujours agréable de conduire un véhicule mais il est nécessaire de bien l’entretenir pour prolonger sa durée de vie. Malgré les précautions prises, il arrive que vous soyez confrontés à une panne mécanique. Voilà pourquoi il est important de souscrire à une assurance auto garantie de panne mécanique.

Le moment idéal pour souscrire à cette assurance

Avant toute chose, il faut savoir distinguer la garantie panne mécanique à la garantie constructeur. Il s’agit d’une assurance automatiquement incluse dans l’achat d’une nouvelle voiture. Le fabricant est obligé d’offrir cette garantie au consommateur pour l’achat d’une voiture neuve. Cette garantie légale couvre toutes les réparations liées à la défaillance des pièces électroniques, électriques et mécaniques. Elle est valable deux ans après l’achat tout au plus. Lorsque le délai arrive à terme, il est possible d’étendre la garantie. Si cette option n’est pas proposée, le propriétaire est dans l’obligation de souscrire à une garantie panne mécanique avant la date d’expiration. En cas de panne auto, cette garantie permet de bénéficier d’une prise en charge. Il est recommandé de bien vérifier le délai de carence. De nos jours, vous pouvez faire votre souscription sur un site spécialisé. La garantie panne mécanique est vivement recommandée pour l’achat d’un véhicule d’occasion. Valable pour un achat chez un professionnel ou un particulier, cette garantie est impérative si le kilométrage est élevé ou s’il s’agit d’un ancien modèle.

Que couvre la garantie panne mécanique?

L’avantage de souscrire à une garantie panne mécanique est la prise en charge en cas de panne du véhicule. Elle inclut la main d’œuvre ainsi que la réparation de pièces abîmées. Lorsque vous choisissez votre assurance auto, il est conseillé de bien lire les termes du contrat parce que ce ne sont pas tous les assureurs qui proposent la garantie panne mécanique. L’utilisation d’un comparateur d’assurance est nécessaire pour trouver la meilleure offre. La prise en charge concerne la remise en état de l’auto en cas d’immobilisation fortuite ou de panne mécanique. Elle couvre toutes pannes liées aux pièces internes de la boîte de vitesses, les systèmes d’injection, le système de climatisation, le turbocompresseur, les composants électroniques et électriques, la culasse, le moteur, etc. Le montant de la prise en charge n’excède pas la valeur de remplacement de l’auto, soit 4000 euros. C’est en se référant à la facture du garagiste que le montant est remboursé.

Fonctionnement de la garantie panne mécanique

En plus de la prise en charge pour toutes réparations liées aux pannes mécaniques, électroniques et électriques du véhicule, la garantie panne mécanique présente d’autres avantages. Il vous suffit de prendre contact avec votre assureur pour faire mettre en œuvre la garantie. Un devis est réalisé dès que votre véhicule est bien remorqué. Dans la limite du plafond de remboursement, l’assureur fait la mise en œuvre des réparations. Certains assureurs garantissent tous les paiements alors vous n’avez rien à avancer. Le défaut d’une pièce n’est pas couvert par la garantie panne mécanique. Si la main d’œuvre est indemnisée à 100%, la valeur d’une pièce est remboursée en partie.

Les trottinettes électriques envahissent aujourd’hui les parcours de nombreux Français. Elles sont devenues le moyen de déplacement préféré de beaucoup de personnes car on peut les emmener partout avec soi. Cependant, il faut parfois les laisser attachées à l’extérieur pendant quelques minutes, voire quelques heures, et on risque de se les faire voler. De plus, plus cette mobilité prend place dans le monde urbain, plus elles sont attirantes. Alors, que faire pour protéger votre trottinette électrique contre le vol afin de pouvoir bien l’utiliser et en profiter longtemps ? Existe-t-il une assurance qui la couvre ?

Pourquoi une trottinette électrique ?

Avez-vous déjà entendu dire que l’on peut changer sa vie en changeant sa mobilité ? C’est effectivement le cas pour de nombreuses personnes qui ont décidé de changer leur mode de transport quotidien pour adopter une trottinette électrique. Plus rapide que l’utilisation des pieds, moins chère que l’achat d’un scooter, cette dernière séduit de plus en plus de Français. De plus, elle est silencieuse, écologique et peu fatigante. Avec tout le temps gagné et tout le stress en moins, la vie, la santé et le porte-monnaie des utilisateurs s’améliorent. Beaucoup plus amusante, plus rapide et moins chère, vous éprouverez également un sentiment de liberté en choisissant la trottinette électrique. Vous pouvez aussi mettre de la souplesse dans votre vie et échapper aux contraintes des déplacements quotidiens en ville. De plus, elle est facile à transporter, peu importe où vous devez aller ou ce que vous voulez faire (en plus des transports publics ou de votre voiture). En bref, elle vous offre de nombreux avantages. Notez toutefois que ce véhicule est classé comme un EDPM et fait partie des véhicules terrestres à moteur qui nécessitent un contrat d’assurance. Le site de www.serenitrip.fr peut vous aider à souscrire une assurance trottinette électrique.

Comment assurer une trottinette électrique ?

La seule obligation est de souscrire une assurance responsabilité civile pour une trottinette électrique et tous les assureurs la proposent. Notez cependant qu’il s’agit d’une responsabilité civile spécifique à votre pratique, pas celle de votre voiture. Assurer la machine elle-même est fortement recommandé. Les garanties dommages et vandalisme peuvent être indispensables selon l’utilisation que vous faites de votre trottinette électrique et surtout si elle a une valeur marchande importante et que vous l’avez achetée neuve. Vous pouvez également étendre votre couverture en choisissant au moins une protection contre le vol (à domicile et à l’extérieur). Comme elle peut être un objet d’attraction, mieux vaut être prudent et se protéger contre le vol.  Vous pouvez donc souscrire une assurance trottinette, ce qui se fait souvent en ligne. Il faut utiliser un comparatif assurance trottinette électrique pour trouver la meilleure offre au meilleur prix. Vous pouvez aussi le faire par téléphone ou vous rendre directement à l’agence si l’assureur dispose de locaux physiques. Pour souscrire, munissez-vous de votre pièce d’identité, d’un RIB et de la facture d’achat de votre trottinette indiquant notamment sa vitesse maximale.

Comment faire jouer son assurance en cas de vol ?

Vous avez garé votre trottinette électrique sur le trottoir le temps d’une course rapide, mais elle avait disparu à votre retour ? Cette situation malheureuse n’est pas rare, surtout en ville. Alors, pour être remboursé par votre assurance, la première démarche à effectuer est de déclarer le vol à votre assureur dans les 24 à 48 heures qui suivent. Après cette déclaration, vous pouvez être indemnisé partiellement ou totalement selon le contrat et le prix assurance trottinette électrique. Plusieurs conditions doivent également être respectées. Vous pouvez par exemple déposer une plainte au commissariat de police. Vous devez aussi présenter la facture d’achat et le numéro de série de votre trottinette comme preuve afin de calculer le remboursement selon la valeur réelle. Vous pouvez en outre joindre toute preuve qui, selon vous, serait utile à votre assureur pour vous rembourser. Il s’agit par exemple de témoignages, de photos montrant que votre porte de garage a été forcée ou que votre serrure a été coupée. N’oubliez pas que la durée d’indemnisation varie selon les compagnies d’assurance et que cela doit être strictement précisé dans les conditions générales de votre contrat.

Autres moyens de protéger votre trottinette contre le vol !

Savez-vous combien coûte une assurance pour trottinette électrique ? Cela dépend de la compagnie, mais si le tarif assurance trottinette électrique que propose votre assureur ne correspond pas à votre budget du moment, vous pouvez attendre un peu. Soyez alors prudent pendant cette période. Même si le stationnement est autorisé sur le trottoir, par exemple, ne laissez pas votre véhicule pendant plusieurs heures à un tel endroit. D’ailleurs, un tel engin est très facile à voler et peut être démonté en quelques minutes par une personne malveillante bien équipée. Ainsi, pour éviter de se faire voler sa trottinette électrique, la première règle est d’adopter de bonnes habitudes. Le mieux est de la garder sur soi si possible ou de la ranger à l’intérieur près de soi. De plus, elle est légère, compacte et toujours pliable. Le sécuriser avec un cadenas est également intéressant si vous devez le laisser dehors. Il suffit d’investir dans un système de sécurité solide tel qu’un système homologué (type SRA). Ce type ne peut pas être facilement descellé du sol si vous préférez un emplacement fixe et solide. Évitez également de la garer dans des endroits à risque comme les ruelles et les zones peu fréquentées.

Contrairement aux agents généraux, les courtiers d’assurance ne sont pas affiliés à une compagnie d’assurance. Par conséquent, sa tâche consiste à guider ses clients dans le choix du régime d’assurance qui convient le mieux à sa situation. Vous souhaitez faire appel à un négociateur pour répondre aux besoins spécifiques de votre maison ? La mission fondamentale d’un courtier d’assurance est de vous fournir la cotation la plus avantageuse au meilleur prix du marché et ainsi de vous conseiller.

Courtier en assurance habitation : qu’est-ce que c’est ?

Un courtier assurance est une personne habilitée ayant un savoir-faire et d’une certaine connaissance approfondie du marché de l’assurance. Son rôle n’est pas de vendre de l’assurance aux clients, mais de les aider à choisir le contrat qui correspond le mieux à leurs besoins. Parmi ses distinctes fonctions, le rôle du courtier est de représenter ses clients auprès des compagnies d’assurance existantes. Il est capable de faire jouer la concurrence entre différentes entreprises en négociant les conditions tarifaires. Les courtiers en assurance habitation sont indépendants des compagnies d’assurance. Son rôle est de déterminer les besoins des clients afin de choisir le produit le plus adapté. Sa fonction de conseil est vitale, ce qui l’oblige à suivre le développement de l’industrie de l’assurance. Il est à noter que les courtiers d’assurances peuvent se spécialiser dans des domaines spécifiques (automobile, construction, divertissement, etc.) au cours de leur carrière. Un courtier d’assurance peut aussi concevoir des différents contrats sur-mesure pour ses clients et lancer des appels d’offres avec des compagnies d’assurances. Habituellement, ce professionnel obtient une rémunération par la compagnie d’assurance et va percevoir une commission sur chaque contrat signé. Cette rémunération peut également prendre la forme d’honoraires qui seront directement payés et négociés par le client. Enfin, il doit être formellement enregistré auprès de l’ORIAS. Pour assurer sa légalité, un courtier d’assurance exerce ses activités sous le contrôle de l’Agence de Contrôle Prudentiel et de Résolution ou ACPR. Il doit également être titulaire de garanties financières et d’une assurance responsabilité civile professionnelle. Pour obtenir plus d’informations, cliquer sur: netvox-assurances.fr

Courtier en assurance habitation : du conseil à l’accompagnement personnalisé

Le courtier d’assurances regroupe plusieurs fonctions, et fournit dans un premier temps des recommandations aux clients en fonction de leurs besoins spécifiques. L’enjeu est de mettre un diagnostic précis dans le but de cibler les risques encourus par son habitat. Au terme de cette recherche, cet expert en assurance va essayer de trouver des garanties suffisantes pour définir le contrat à choisir. En plus des conseils, il apporte toujours un accompagnement personnalisé à ses clients. En fait, l’objectif est de pouvoir répondre à vos propres besoins selon votre développement personne ou professionnel. Le courtier reste alors un interlocuteur favorisé et peut intervenir depuis la signature du contrat jusqu’au règlement du sinistre. À noter que les courtiers d’assurances accompagnent également leurs clients dans la réalisation de tâches de gestion pour assurer une plus grande autonomie. Son rôle va bien au-delà de la seule mission de transmission de devis aux clients. Un courtier en assurance est une personne capable de donner des conseils avisés. C’est un expert très polyvalent, commerçant. Et pour trouver le meilleur tarif, il devient un meilleur négociateur.

Trouver un courtier pour obtenir une meilleure couverture pour votre maison

Comme il existe plusieurs formules en matière de contrat d’Assurance, il faut bien choir celle qui convient à vos besoins et surtout vos budgets. C’est pourquoi il est nécessaire de faire appel à un courtier en assurance habitation. En tant que professionnel dans le domaine d’assurance, celui-ci sera en mesure d’offrir la bonne couverture qui sera adéquate pour votre logement. Il va privilégier différentes formules d’assurance immobilier protectrice et accessible pour tout type de situation. Grace à son expertise, il est possible de trouver la solution la plus appropriée afin de protéger votre logis, votre mobilier et surtout vos proches. Pour ceux qui veulent obtenir une assurance fiable qui s’adapte pour leur budget, il s’avère utile de recourir au service d’un courtier en assurance habitation. Parce qu’il peut proposer une formule économique permettant d’avoir à un prix réduit toutes les diverses garanties minimales indispensables. Il est capable aussi d’offrir des garanties supplémentaires concernant les risques de vol, des dégâts des eaux ou des actes e vandalisme.

Quels autres avantages de passer par un courtier en assurance habitation ?      

Se tourner vers un courtier en assurance habitation pour vos démarches peut être avantageux. Faire appel à cet expert peut vous faire gagner beaucoup de temps. En tant que connaisseur du marché d’assurance, il entre souvent en contact avec plusieurs organismes. Il sera en mesure de comparer et de recherches les diverses formules en matière de contrat d’assurance pour protéger votre maison. Il connait également les nouveaux produits que les compagnies d’assurance proposent. En tant que professionnels, les courtiers d’assurances peuvent obtenir des conditions très intéressantes pour leurs clients : en permettant aux compagnies d’assurance de participer à la concurrence et par la négociation, notamment des conditions de garantie. Parfois, les courtiers peuvent même gagner des tarifs préférentiels (et des primes d’assurance). Les courtiers d’assurance sont chargés de veiller au respect des contrats et des clauses. Ainsi, il vous accompagne après la souscription initiale et défend vos intérêts en cas de sinistre. Vous n’avez donc pas à gérer vous-même cette situation avec la compagnie d’assurance ! Avoir des experts qui s’assurent du respect de vos droits est un avantage particulièrement intéressant, et cela doit être pris en compte au moment de décider de faire appel à un courtier en premier lieu.

L’assurance est un service qui fournit des prestations en cas d’incertitude et d’événements aléatoires appelés « risques ». Qu’est-ce que l’assurance habitation ? À combien s’élève un prix assurance habitation ? Quels sont les critères du calcul du prix de l’assurance habitation ? Le point sur la question.

 Qu’est-ce que l’assurance habitation ?

L’assurance habitation a pour but d’indemniser les victimes de sinistres pouvant survenir pendant l’occupation de la maison. Que vous soyez propriétaire, locataire d’un appartement ou d’une maison, vous serez confronté à de nombreux risques. Inondations, incendies, vols pendant les vacances, vitres cassées… Même s’il est possible de limiter le risque, personne ne peut être à l’abri des différentes catastrophes qui se produisent chez soi. Propriétaire, locataire : le contrat d’assurance Habitation MAIF protège votre logement et vos biens avec de solides garanties en cas de sinistre.

L’assurance habitation vous permet non seulement de protéger la valeur de la maison et de ses propriétés, mais également de protéger les pertes causées par autrui.

 Prix de l’assurance habitation

Pour les locataires, il est difficile de déterminer avec précision le prix assurance habitation. L’estimation du prix dépend de divers facteurs, tels que les fichiers de configuration, la valeur du bien, la localisation du bien et sa nature.

Si vous êtes propriétaire, le prix de l’assurance habitation est également lié aux différents facteurs mentionnés ci-dessus. En effet, en cas de sinistre majeur, sans assurance, vous ne pourrez obtenir aucun remboursement, vous ne pourrez donc peut-être pas effectuer les réparations nécessaires. Enfin, pour les propriétaires non occupants, les locataires doivent souscrire une assurance habitation. Cependant, cela peut ne pas couvrir toutes les réclamations. De même, bien que vous ayez le droit d’obtenir une attestation d’assurance chaque année, il y a toujours un manque d’assurance parmi les locataires.

 Comment calculer le prix de l’assurance habitation ?

Le prix assurance habitation dépend de nombreux critères : la taille de la maison et la valeur du bien meuble. Tous ces éléments affecteront le coût final de votre prime d’assurance habitation. Votre information résidente : occupant, non-occupant, locataires en résidence meublée ou non meublée, résidents libres, résidents en résidence officielle, copropriétaires… Le nombre de réclamations auxquelles vous avez été confronté dans le passé est également un chiffre important, car il permet notamment aux compagnies d’assurance d’estimer le risque de négligence. Le type de logement dans lequel vous vivez : que votre appartement soit situé au premier étage ou au dernier étage. L’année de construction sera également importante pour les compagnies d’assurance. De même, si vous avez besoin d’une assurance habitation pour une résidence secondaire, une maison principale ou même un appartement, le calcul de la prime sera différent. Votre résidence affectera également le coût.

Lorsque survient un sinistre ou une catastrophe naturelle, l’assurance habitation vous offre une indemnisation. Cependant, le remboursement peut varier en fonction de certains facteurs importants. Les droits du propriétaire, copropriétaire, locataire, titulaire ou cotitulaire ne sont pas aussi les mêmes. En conséquence, avant de choisir un contrat habitation, il faut s’informer sur les droits et obligations de l’assuré ainsi que de l’assureur.

Petit rappel sur les particularités de l’assurance habitation

Un contrat d’assurance habitation doit toujours mentionner les conditions particulières attenantes afin d’éviter que l’assuré n’ait de mauvaises surprises au moment du remboursement. Ces conditions comportent les obligations de l’assuré ainsi que toutes les informations le concernant. La durée de validité du contrat, les plafonds d’indemnisation, le montant de la prime, les exclusions de garantie, les franchises d’assurance habitation et le délai de carence y figurent également. Ces conditions sont très différentes des conditions générales. Néanmoins, il reste possible pour l’assuré de négocier quelques détails particuliers, avant de signer son contrat d’assurance habitation. Pour plus d’informations sur le sujet, n’hésitez pas à vous renseigner sur maif.fr.

Les engagements de l’assuré en cas de sinistre 

En cas de sinistre, l’une des premières obligations de l’assuré, c’est le respect des délais de déclaration imposés par l’assureur. L’assuré dispose de cinq (05) jours ouvrés minimum, à compter de la date de constatation du sinistre, pour faire une déclaration. Cependant, ce délai peut être rallongé si les deux parties se sont mises d’accord à l’avance. Pour déclarer un sinistre, l’assuré doit rédiger une lettre recommandée avec accusé de réception. Afin de faciliter et/ou d’accélérer la procédure d’indemnisation, les dégâts, les pertes ainsi que la date et les circonstances de la survenue du sinistre sont à mentionner dans la lettre. Sachez que si vous ne respectez pas les délais, cela pourrait avoir des conséquences sur votre contrat d’assurance.

Qu’en est-il donc de l’assureur ?

Tout comme les obligations de l’assuré, il est aussi important de connaître celles de l’assureur. L’assureur a pour devoir d’informer l’assuré de ses droits en cas de sinistre, vol ou catastrophes naturelles ou technologiques. Une fois la déclaration de l’assuré faite, l’assureur est tenu d’agir dans les délais raisonnables. Si ce n’est pas le cas, il risque fortement de recevoir une sanction de la part d’un juge. En ce qui concerne l’indemnisation, elle doit être effectuée dans les 3 mois qui suivent la validation de la demande. Dans le cas contraire, l’assureur pourrait être accusé d’avoir commis une fraude.

Lorsqu’une personne est propriétaire ou qu’elle loue une maison, elle doit penser à assurer son habitation. C’est une manière, pour cette dernière, de se protéger si un événement fâcheux survenait. Seulement, les besoins peuvent différer selon que vous soyez propriétaire ou locataire. Ceci dit, comment fonctionne la couverture d’une assurance habitation ?

Qu’est-ce qu’une assurance habitation ?

Avoir un foyer appelle à de grandes responsabilités. Mis à part les réparations et l’entretien, vous devez également penser à garantir votre logement. Ici, il s’agit généralement de souscrire une couverture d’une assurance habitation comme MAIF par exemple. Mais c’est quoi exactement une assurance habitation ? En fait, celle-ci fait partie des assurances essentielles de la vie quotidienne. Grâce à elle, vous pourrez être compensé par votre compagnie d’assurance dans différentes situations. Ce type de contrat peut pareillement protéger votre patrimoine familial. Pour cela, la majorité des assureurs proposent une assurance multirisque habitation.

Quels sont les risques qu’elle couvre ?

De nos jours, personne n’est à l’abri des dangers. Il se peut par exemple qu’en pleine nuit, un grand arbre tombe sur votre maison. Cela peut, éventuellement, détruire votre toit. Ainsi, en absence d’une couverture d’une assurance habitation, vous serez obligé de débourser les réparations de vos poches. C’est également le cas si vous êtes victime d’un incendie, une tempête ou tout autre sinistre. En somme, sachez qu’en tant que locataire, une assurance incendie peut vous être d’une grande aide si les murs ou les portes ont subi des dégâts. Elle peut aussi intervenir si vos mobiliers (vêtements, meubles, ordinateur, etc.) ont été touchés. En revanche, si le logement touché vous appartient, notez que l’assurance peut couvrir les dommages liés à tous vos biens (objets et meubles). Il ne faut pas oublier, bien entendu, la responsabilité civile où l’assureur (vous) se place en tant que responsable afin de dédommager la victime. Par ailleurs, si votre choix s’est porté sur un contrat multirisque habitation, vous serez soutenu en cas de cambriolage, bris de glace, vandalisme, dégâts des eaux et catastrophes naturelles.

L’assurance habitation est-elle obligatoire ?

Contrairement aux idées reçues, la souscription une couverture d’une assurance habitation n’a pas un caractère obligatoire. Néanmoins, il est courant qu’elle soit exigée par un tiers. En effet, votre banque, à titre d’exemple, vous octroiera un prêt à la seule condition que vous signiez une assurance incendie. C’est aussi le cas si vous souhaitez louer une maison. Le propriétaire peut demander que vous ayez une assurance. Bref, essayez d’être toujours en conformité pour votre responsabilité civile ou votre vie privée vis-à-vis des autres.

Le bail de location d’habitation entre les particuliers est soumis à une souscription d’assurances pour le locataire et le propriétaire. À vrai dire, il y a des assurances inévitables pour une location. Comme le locataire qui a une obligation d’assurances de location à titre privé, le propriétaire doit aussi en souscrire pour se protéger en tant que propriétaire faisant du locatif.

Les garanties inévitables pour une location

Pour le propriétaire, l’assurance propriétaire non occupante est une obligation d’assurances qu’il doit consentir avant de faire louer sa maison. Cette assurance lui permet d’être à l’abri en cas de danger ou sinistres. Et le locataire doit aussi souscrire une assurance des loyers impayés. Le contrat Assurance Loyers Impayés est un contrat proposé par la MAIF et géré et souscrit par l’intermédiaire de Gestion Assurances SA (une marque de la société Groupe Solly Azar) auprès de SERENIS ASSURANCES SA (porteur du risque).

Les obligations d’assurances pour le locataire

Un locataire est obligé de souscrire une assurance loyer impayé ou un contrat MRH pour devancer la responsabilité civile envers le propriétaire ainsi que les voisins. Cela signifie qu’il doit établir une garantie responsabilité civile locative. Il doit présenter un certificat de souscription pendant la signature du bail avec le propriétaire. Un locataire peut aussi souscrire une assurance contre les vols et cambriolages pour éviter une mésentente avec le propriétaire en cas d’insalubrité de l’habitation. Le locataire peut adapter une assurance vitale qui lui apporte une aide pouvant devancer une indemnisation envers le bailleur dans le cas où il se trouverait dans l’impossibilité de payer le propriétaire.

Les assurances permettant au propriétaire faisant du locatif pour se protéger

L’assurance propriétaire non occupant est la première garantie pour le propriétaire d’un logement pour se protéger. Elle défend le propriétaire et le couvre contre des risques imprévus. Cette assurance est liée avec l’assurance loyer impayé et la garantie de risques locatifs. L’assurance habitation signée par le locataire permet au propriétaire d’avoir des garanties en cas de dégâts matériels. Cette garantie de loyer impayé permet aussi au propriétaire d’être en sécurité concernant le loyer, et les frais de prise en charge de toute réparation. L’attestation d’un contrat de responsabilité civile locative présentée par le locataire est une assurance protégeant le propriétaire. Alors, la souscription à une assurance habitation par le locataire et le propriétaire protège ce dernier contre détériorations et risques de non-paiement du loyer. Cette assurance habitation couvre son bien contre les incendies, dégâts des eaux, catastrophes naturelles et de bris de glace. En plus, l’attestation d’une assurance souscrite par son locataire lui permet aussi d’être en sécurité concernant la responsabilité civile envers autrui.

Se confronter à un accident de la route est toujours un moment de trouble et de confusion pour un conducteur. La soudaineté de l’événement et la surprise le placent dans un état rendant toute prise de décisions difficile. Dans le cas d’une collision avec un animal, on doit rester calme et prendre tous les dispositifs nécessaires.

Sécuriser les lieux de la collision et les passagers

La première chose à faire après à une collision avec un animal est de garer le véhicule dans un lieu sécurisé. Il faut le mettre au bord de la route et placer les signalisations d’un danger dans une distance réglementaire. Ensuite, il est nécessaire de s’occuper des éventuels blessés parmi les passagers. Une sortie de route pouvant provoquer des dégâts considérables peut même se produire. Il est alors primordial d’évacuer les blessés qui nécessitent des soins appropriés. Enfin, Il est toujours rassurant d’établir un périmètre de sécurité face à l’animal. En effet, les réactions d’un animal blessé, se sentant toujours en danger, sont souvent imprévisibles.

Informer les autorités, une étape nécessaire

Informer les services de la police ou de la gendarmerie en charge du lieu de l’accident est une étape nécessaire. Dans la pratique, ces derniers doivent informer aussi les gardes forestiers responsables de la zone. Ces services doivent faire le constat et produire les procès-verbaux afférents à l’accident. Le conducteur doit alors les aider en leur donnant toutes les informations utiles. Les gardes forestiers sont les professionnels les mieux placés pour décider des mesures à prendre, concernant l’animal. Il ne faut pas oublier de se procurer des copies des procès verbaux faits par les services en présence. Ces documents sont des pièces nécessaires à toutes les démarches à suivre.

Envoyer une déclaration à l’assureur

Suite à une collision avec un animal sauvage, l’envoi d’une déclaration à l’assureur, dans un délai de 5 jours, est exigé. La déclaration doit contenir des détails susceptibles d’expliquer les circonstances pouvant provoquer l’accident. Les conditions météorologiques peuvent, par exemple, être des critères essentiels à prendre en compte. On doit aussi recueillir le plus de preuves possibles pour appuyer la déclaration. La prise d’un bon nombre de photos est, dans cette optique, très significative. La déclaration des éventuels témoins oculaires peut aussi servir dans des cas similaires. Les indemnisations des dommages subis par le conducteur ou les passagers sont déterminées conformément à la nature de l’assurance contractée. Il en est de même pour les dommages matériels.

En assurance auto, le bris de glace est un sinistre très fréquent. La majorité des contrats d’assurance à risque possède cette disposition. Une franchise peut être appliquée à l’assuré si les réparations peuvent être effectuées. Le montant dépend de l’assurance auto.

Quand faut-il réparer un bris de glace ?

Vous avez 5 jours ouvrables pour la déclaration de votre sinistre si votre assurance comprend cette disposition de garantie bris de glace. Il représente plus du tiers qui arrive aux automobiles avec plusieurs visages comme avec une dimension inférieure à 15 mm représentant un petit éclat. Dans ce cas, si la fissure ne gêne pas votre vision, il n’est pas nécessaire de le réparer, mais pour éviter la propagation de l’éclat il faut la prendre en charge. Il existe aussi la fissure avec plus de 30 cm, une plus grande dimension qui va gêner automatiquement votre vision. Il faut dans ce cas remplacer votre pare-brise dans de plus brefs délais, avant de penser à reprendre la route.

Le petit éclat peut se corriger par une injection de résine endurcie à l’aide d’UV. L’opération ne dure pas longtemps et ne coûte pas plus d’une centaine d’euros. Mais pour le changement total de pare-brise est plus coûteux avec au moins 2 h de main d’œuvre et même plus selon la taille et le modèle.

Comment se passe l’indemnisation de l’assurance auto pour votre bris de glace ?

Il existe actuellement 2 types d’indemnisation selon la démarche que vous voulez faire. D’un côté, en passant par une société de réparation en partenariat avec votre compagnie d’assurance. Tout ce qui concerne la réparation de votre bris de glace sera sous la charge de votre assurance auto, la franchise est ce qui reste à vos frais. Si la franchise n’est pas mentionnée dans votre contrat alors vous n’allez pas la payer. D’un autre côté, vous choisissez vous-même le réparateur en avançant les frais. Et c’est avec la transmission de la facture originale que l’assurance va déduire la franchise à partir de votre remboursement. Vous devez bien vous renseigner sure le mode d’emploi de la garantie de bris de glace pour éviter tout refus de recouvrement par l’assurance.

Comment se passe l’assurance de bris de glace en cas de cause par vandalisme ?

Un petit éclat de bris de glace peut survenir à n’importe quel moment à cause de choc thermique, d’intempéries, de collision, de travaux routiers… Mais dans le cas de vandalisme, vous devez faire valoir la garantie vol auprès de votre assurance automobile qui va se passer en plusieurs étapes. En établissant dans les 2 jours ouvrables une déclaration auprès de la police, avant de contacter votre assurance.

C’est seulement après la réponse de votre assurance auto que vous allez effectuer les réparations. Effectivement, la franchise diffère pour la garantie vol selon le constat et peut donc varier. Il existe des exclusions de garanties qui sont précisées dans le contrat d’assurance. Par exemple, un vol d’autoradio causant un sinistre bris de glace peut ne pas être pris en charge par l’assurance auto.

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